6 février 2010
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Samedi 6 février 2010
Retraites, c'est parti.
Dans tous les sens, n'importe comment. On parle chiffres, on parle société, on parle partage... et on va en parler à fond pendant quelques mois car les nuages s'accumulent.
Nous avons récemment publié un tout petit article autour d'une vidéo pour tenter d'ouvrir la réflexion et nous y reviendrons très prochainement.
Dans l'immédiat, nous publions quelques documents pour préparer la discussion. Ici, la position de la Confédération, moins caricaturale qu'on peut l'entendre ici ou là. En particulier, quand il est écrit "l’ouverture du droit à la retraite à 60 ans avec, pour une carrière complète qui intégrerait les années d’études et les périodes de précarité subies, un taux de remplacement d’au moins 75 % du salaire de référence (dernier salaire dans le public, 10 meilleures années dans le privé). Les travailleurs ayant effectué des travaux pénibles bénéficieraient d’un départ anticipé."
Nous reviendrons plus tard sur la notion de durée et de salaire, ainsi que sur la crédibilité de la confédération après les trahison de 2007 (régimes spéciaux) et de 2003 (40 ans de cotisations dans le public, 41 dans le privé).
Dans l'immédiat, voici le document de synthèse récemment publié par la Confédération :
Retraites : la position de la Confédération
Retraites, c'est parti.Dans tous les sens, n'importe comment. On parle chiffres, on parle société, on parle partage... et on va en parler à fond pendant quelques mois car les nuages s'accumulent.
Nous avons récemment publié un tout petit article autour d'une vidéo pour tenter d'ouvrir la réflexion et nous y reviendrons très prochainement.
Dans l'immédiat, nous publions quelques documents pour préparer la discussion. Ici, la position de la Confédération, moins caricaturale qu'on peut l'entendre ici ou là. En particulier, quand il est écrit "l’ouverture du droit à la retraite à 60 ans avec, pour une carrière complète qui intégrerait les années d’études et les périodes de précarité subies, un taux de remplacement d’au moins 75 % du salaire de référence (dernier salaire dans le public, 10 meilleures années dans le privé). Les travailleurs ayant effectué des travaux pénibles bénéficieraient d’un départ anticipé."
Nous reviendrons plus tard sur la notion de durée et de salaire, ainsi que sur la crédibilité de la confédération après les trahison de 2007 (régimes spéciaux) et de 2003 (40 ans de cotisations dans le public, 41 dans le privé).
Dans l'immédiat, voici le document de synthèse récemment publié par la Confédération :
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